On n'enterre pas le dimanche, Movie, 1960

Pictures provided by: DidierF

Also known as:

One Does Not Bury Sunday
Man begräbt am Sonntag nicht (Austria)
Døden kommer om søndagen (Denmark)

Citroën 15

1959 Citroën U55 Currus CH14

Motobécane Z 45

Peugeot 203

1958 Peugeot 403

1956 Renault Dauphine

Renault Frégate

1936 Renault TN4HP

1956 Simca Aronde

unknown

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DidierF ◊ 2015-10-20 17:52	Une Châtelaine (?) en un reflet dans la vitre d'une cabine téléphonique, 00:56:21, le film est fini (sur une autre image), j'en parle un peu, plus tard, mais on peut déjà se creuser la tête sur les (petites) difficultés que présentent les images.
DidierF ◊ 2015-10-20 18:44	est le premier long métrage de Michel Drach (dont j'avais eu le douteux plaisir de "poster" Safari diamants ici), qu'il a écrit sur la base d'un roman policier de Fred Kassak. C'est d'ailleurs le côté roman policier à petite ruse finale qui pèse le plus sur la narration. Le reste — la complainte du pauvre Noir dans Paris plus ou moins raciste, annoncée à l'épate en début de film, et de ses amours contrariées avec une jeune étudiante suédoise — s'estompe heureusement très vite (elle aurait pu être la complainte de l'étudiant provincial perdu dans la grande ville qui isole, mais Chabrol l'avait déjà faite). Il reste une petite histoire de crime, avec quelques trous de scénario, une opposition entre le soupçonné (Philippe Mory) et le commissaire (Marcel Cuvelier), à peine ébauchée, dommage, une histoire de jalousie entre le Noir et l'éditeur (Albert Gilou), une histoire de séduction hésitante entre le Noir et la Suédoise (Christina Bendz), pas inintéressante, celle de la séduction triomphante du Noir par la femme blanche (excellente Hella Petri). Il reste encore un noir et blanc souvent très joli, et beaucoup de plans dans Paris à toutes les heures. Le canal Saint-Martin est particulièrement honoré. Voici l'image finale… … avant une fermeture au noir qui dure une minute et demie, pendant laquelle on entend la fin de l'illustration musicale, très bonne, signée Eric Dixon ("James Campbell", dit IMDb — est-ce le même ?) et Kenny Clarke. Belles images, quelques acteurs convaincus (Petri, Cuvelier, Gilou), ce qu'il faut d'humour aussi, cette archi-rareté mérite d'être redécouverte. Ultra-rare movie, not devoid of qualities. The cinematography is extremely fine, though the production is very cheap. The story… well, a little crime story, with some social and anti-racist inceptions. Not bad, with the final twist, not very good because the plot holes, but there are little touches of humour quite welcome all along the movie. Worth the watching. -- Last edit: 2015-10-20 18:53:32
DidierF ◊ 2015-10-20 18:58	(The so-called World-wide (English title) given by IMCDb sounds really strange. I mean, it really looks like a Google-translation.) -- Last edit: 2015-10-20 18:59:01

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DidierF

◊ 2015-10-20 17:52

Une Châtelaine (?) en un reflet dans la vitre d'une cabine téléphonique,

00:56:21,

le film est fini (sur une autre image), j'en parle un peu, plus tard, mais on peut déjà se creuser la tête sur les (petites) difficultés que présentent les images.

DidierF

◊ 2015-10-20 18:44

est le premier long métrage de Michel Drach (dont j'avais eu le douteux plaisir de "poster" Safari diamants ici), qu'il a écrit sur la base d'un roman policier de Fred Kassak.

C'est d'ailleurs le côté roman policier à petite ruse finale qui pèse le plus sur la narration. Le reste — la complainte du pauvre Noir dans Paris plus ou moins raciste, annoncée à l'épate en début de film, et de ses amours contrariées avec une jeune étudiante suédoise — s'estompe heureusement très vite (elle aurait pu être la complainte de l'étudiant provincial perdu dans la grande ville qui isole, mais Chabrol l'avait déjà faite). Il reste une petite histoire de crime, avec quelques trous de scénario, une opposition entre le soupçonné (Philippe Mory) et le commissaire (Marcel Cuvelier),

à peine ébauchée, dommage, une histoire de jalousie entre le Noir et l'éditeur (Albert Gilou), une histoire de séduction hésitante entre le Noir et la Suédoise

(Christina Bendz), pas inintéressante, celle de la séduction triomphante du Noir par la femme blanche

(excellente Hella Petri).

Il reste encore un noir et blanc souvent très joli, et beaucoup de plans dans Paris à toutes les heures.

Le canal Saint-Martin est particulièrement honoré.

Voici l'image finale…

… avant une fermeture au noir qui dure une minute et demie, pendant laquelle on entend la fin de l'illustration musicale, très bonne, signée Eric Dixon ("James Campbell", dit IMDb — est-ce le même ?) et Kenny Clarke.

Belles images, quelques acteurs convaincus (Petri, Cuvelier, Gilou), ce qu'il faut d'humour aussi, cette archi-rareté mérite d'être redécouverte.

Ultra-rare movie, not devoid of qualities. The cinematography is extremely fine, though the production is very cheap. The story… well, a little crime story, with some social and anti-racist inceptions. Not bad, with the final twist, not very good because the plot holes, but there are little touches of humour quite welcome all along the movie. Worth the watching.

-- Last edit: 2015-10-20 18:53:32

DidierF

◊ 2015-10-20 18:58

(The so-called World-wide (English title) given by IMCDb sounds really strange. I mean, it really looks like a Google-translation.)

-- Last edit: 2015-10-20 18:59:01

	The vehicle is part of the movie
	Vehicle used a lot by a main character or for a long time
	Vehicle used by a character or in a car chase
	Minor action vehicle or used in only a short scene
	Background vehicle
	Unknown vehicle role
	Seen only in preview/trailer
	Seen only in deleted scenes
	Seen only in an alternative ending
	Seen only in an extra DVD contents

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