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◊ 2014-08-14 20:58 |
de Jean Gourguet, le réalisateur du faible Malaria (1943). Un mélodrame qui permet à Gaby Morlay de donner sa pleine mesure, ce qui n'est pas peu. Dalio, Debucourt, Jean Tissier font bien leur travail eux-aussi. Quelques scènes sont très bonnes (les coulisses, la Mort qui rôde). Peu d'extérieurs, en général des stock shots sur Annecy et la montagne, et un ou deux plans de rues à Annecy et Paris. Ce qui fournirait des si j'étais d'humeur. Mais à quoi bon tenter d'identifier une camionnette comme celle-ci… … ou un camion léger comme celui-là, hein ? Quant à savoir si on trouve ici à gauche une Willys MB ou une Ford GPW, et ce que peut bien être la bagnole de droite… Bref. Trois et une , découvrable mais difficile à identifier. Gaby Morlay was a very talented actress, with a wide range of acting abilities. Here she has a melodramatic part that she holds perfectly well, with good support from his French colleagues Dalio, Debucourt, etc. Only one car with a part in the action, for it is essentially filmed theater. |